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Bref, en ce début du mois de juillet, le bruit courait que la Dame d’or surgirait peut-être dans les environs de Saint Yrieix La Perche et Aurélien Despars était bien décidé à se l’approprier. Une intuition subite le conduisit à s’isoler des autres, à quitter le Lac d’Arfeuille pour se rendre au Chalard. Il descendit à un ruisseau bordé d’arbres, ôta ses bottes, entra dans l’eau malgré le froid et plongea sa batée avec une conviction que réfrénait un reste de rationalisme, comme si cette doctrine garantissait un semblant de dignité à défaut de provoquer l’enthousiasme et l’espoir sans lesquels on n’entreprendrait jamais rien. Aurélien laissa ses pensées dériver. Son regard devenu vague ne voyait ni le paysage ni le flot riant de l’onde. Seul le doux visage d’Héliodore se présentait à son esprit. Un poids inhabituel au creux de ses mains le ramena brutalement à la réalité. Il crut qu’il avait par mégarde pêché un poisson dans sa batée. Il souleva celle-ci hors de l’eau et se sentit défaillir : la Dame d’or y resplendissait.
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Le cœur battant, Aurélien saisit la pépite, jeta sa batée à côté du ruisseau et sortit de ce dernier pour s’asseoir sur l’herbe. Il tremblait d’émotion. Il sursauta soudain, car il avait froid et craignait qu’on le surprît. Il se releva prestement, se rechaussa et dissimula tant bien que mal la Dame d’or à l’intérieur de son blouson. Il remonta en hâte le chemin par lequel il était venu, grimpa dans sa voiture et démarra en trombe. Arrivé au domicile de ses parents, il prétexta un rhume pour s’enfermer dans sa chambre jusqu’au dîner. Une série d’éternuements ponctua son discours et confirma la nécessité d’une sieste. Aurélien ôta ses vêtements trempés, enfila un pyjama et s’allongea sur son lit pour contempler à loisir sa merveilleuse trouvaille qu’il avait déposée sur sa table de chevet. Un timide rayon de soleil perça la couche des nuages et, traversant les carreaux de la fenêtre, atteignit la pépite qui brilla aussitôt d’un éclat exceptionnel. La Dame d’or possédait une étrange apparence. D’un côté, elle évoquait une sculpture d’Arp et, sous un autre angle de vue, une figure de Matisse. La lumière instable de l’après-midi paraissait changer son aspect au rythme des éclaircies qui alternaient avec les averses. Aurélien se releva, ferma les volets et alluma une bougie qu’il plaça tout près de la pépite. Il l’observa, stupéfait : on aurait juré qu’elle dansait. Au bout d’un moment, à force de la fixer, il sentit ses paupières s’alourdir malgré lui et il sombra dans un profond sommeil entrecoupé de rêves.
Le cœur battant, Aurélien saisit la pépite, jeta sa batée à côté du ruisseau et sortit de ce dernier pour s’asseoir sur l’herbe. Il tremblait d’émotion. Il sursauta soudain, car il avait froid et craignait qu’on le surprît. Il se releva prestement, se rechaussa et dissimula tant bien que mal la Dame d’or à l’intérieur de son blouson. Il remonta en hâte le chemin par lequel il était venu, grimpa dans sa voiture et démarra en trombe. Arrivé au domicile de ses parents, il prétexta un rhume pour s’enfermer dans sa chambre jusqu’au dîner. Une série d’éternuements ponctua son discours et confirma la nécessité d’une sieste. Aurélien ôta ses vêtements trempés, enfila un pyjama et s’allongea sur son lit pour contempler à loisir sa merveilleuse trouvaille qu’il avait déposée sur sa table de chevet. Un timide rayon de soleil perça la couche des nuages et, traversant les carreaux de la fenêtre, atteignit la pépite qui brilla aussitôt d’un éclat exceptionnel. La Dame d’or possédait une étrange apparence. D’un côté, elle évoquait une sculpture d’Arp et, sous un autre angle de vue, une figure de Matisse. La lumière instable de l’après-midi paraissait changer son aspect au rythme des éclaircies qui alternaient avec les averses. Aurélien se releva, ferma les volets et alluma une bougie qu’il plaça tout près de la pépite. Il l’observa, stupéfait : on aurait juré qu’elle dansait. Au bout d’un moment, à force de la fixer, il sentit ses paupières s’alourdir malgré lui et il sombra dans un profond sommeil entrecoupé de rêves.
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Le visage d’Héliodore lui apparut en songe mais une image angoissante se superposa aux traits de son amie. Une femme inconnue, entourée d’un halo scintillant, s’adressa à lui en ces termes :
« Je suis la Dame d’or. Je connais déjà tes secrets les plus intimes. Dès à présent, tu disposes de l’argent dont tu as besoin pour partir avec Héliodore en Écosse. Tout ce que vous entreprendrez au cours de l’été sera voué au succès. En échange, le dernier jour du mois d’août, tu devras répondre à ma question. Sinon, tu connaîtras un immense chagrin qui t’ôtera à jamais le goût de vivre. Tu as encore le choix de refuser ma proposition. Que décides-tu ?
— J’accepte ! Quelle est votre question ?
— D’où provient l’or véritable ? »
La lumière glacée qui émanait de l’apparition s’éteignit et Aurélien s’éveilla, en proie à un malaise diffus. Voulant regarder la pépite, il s’aperçut que celle-ci avait disparu. Il se rua hors de la chambre et interrogea ses parents qui bavardaient dans le salon. Ils avaient respecté son besoin de sommeil et à aucun moment ne l’avaient dérangé. Son air hagard prouvait son état fiévreux, il devrait consulter un médecin si… Aurélien les interrompit d’un geste et retourna dans sa chambre. Il n’était pas trop tard, il avait encore le temps de vérifier la situation de ses finances auprès de sa banque. Il téléphona à l’agence. Le directeur en personne lui confirma l’incroyable nouvelle : une charmante jeune femme blonde venait de déposer sur son compte une somme de dix mille euros. Aurélien retint un hurlement de joie.
« Je suis la Dame d’or. Je connais déjà tes secrets les plus intimes. Dès à présent, tu disposes de l’argent dont tu as besoin pour partir avec Héliodore en Écosse. Tout ce que vous entreprendrez au cours de l’été sera voué au succès. En échange, le dernier jour du mois d’août, tu devras répondre à ma question. Sinon, tu connaîtras un immense chagrin qui t’ôtera à jamais le goût de vivre. Tu as encore le choix de refuser ma proposition. Que décides-tu ?
— J’accepte ! Quelle est votre question ?
— D’où provient l’or véritable ? »
La lumière glacée qui émanait de l’apparition s’éteignit et Aurélien s’éveilla, en proie à un malaise diffus. Voulant regarder la pépite, il s’aperçut que celle-ci avait disparu. Il se rua hors de la chambre et interrogea ses parents qui bavardaient dans le salon. Ils avaient respecté son besoin de sommeil et à aucun moment ne l’avaient dérangé. Son air hagard prouvait son état fiévreux, il devrait consulter un médecin si… Aurélien les interrompit d’un geste et retourna dans sa chambre. Il n’était pas trop tard, il avait encore le temps de vérifier la situation de ses finances auprès de sa banque. Il téléphona à l’agence. Le directeur en personne lui confirma l’incroyable nouvelle : une charmante jeune femme blonde venait de déposer sur son compte une somme de dix mille euros. Aurélien retint un hurlement de joie.
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Dès lors, les événements s’enchaînèrent à une cadence rapide. Héliodore et Aurélien partirent ensemble et se dévoilèrent leurs sentiments respectifs. L’Écosse devint le théâtre d’une parfaite idylle. En outre, Malcolm Mac Graham, dévoré de remords, se montra ravi de retrouver sa fille et, désirant se faire pardonner son abandon, il offrit aux jeunes gens de rester le temps qu’ils souhaitaient à Dunmay Castle. Il semblait à Aurélien qu’il lui suffisait de formuler un vœu pour obtenir sa réalisation immédiate. Héliodore et lui vivaient au comble de la félicité. L’étudiant était si heureux que, vers la fin des vacances, il expliqua à Malcolm l’origine de sa chance. Lorsqu’il parla de la Dame d’or, Malcolm Mac Graham pâlit et entraîna Aurélien dans son bureau pour une discussion entre hommes. Là, il raconta comment la Dame d’or avait ruiné sa vie et quels pouvoirs maléfiques elle détenait. Tout avait commencé lorsque Kenneth Inverholm avait découvert la pépite qui brillait dans l’eau près de Goldstone Bridge. Kenneth, qui aimait Lady Mac Graham sans être payé de retour, avait supplié la fée gaélique de lui octroyer une immense fortune qui, pensait-il, lui permettrait de séduire Lady Mac Graham, de l’enlever et de la faire vivre dans un luxe tel qu’elle oublierait bien vite son mari. Mais, malgré les efforts du régisseur, la châtelaine restait indifférente. Elle ne le voyait pas plus que s’il était transparent. L’or qu’il avait amassé grâce à la pépite ne lui servait à rien. Lorsque le moment vint de répondre à la question de la fée, il resta sans voix. Alors, le jour suivant, le vent se leva et Lady Mac Graham mourut noyée au fond du Loch Abergarry. Éperdu de chagrin, Kenneth Inverholm se pendit peu après. Mais l’histoire ne s’arrêta pas là. En effet, quelques années plus tard, lui-même, Malcolm Mac Graham, découvrit la fameuse pépite à Goldstone Bridge. Il ne se méfia pas d’elle et, au lieu de la rejeter à l’eau, accepta son ignoble pacte, car il voulait impressionner la jeune photographe française dont il était amoureux. Il craignait qu’elle ne trouvât la vie trop austère à Dunmay Castle, il désirait lui offrir les fastes qui la retiendraient auprès de lui. Il n’avait su répondre à la question maudite. Sa femme décéda peu après, à la naissance d’Héliodore.
Dès lors, les événements s’enchaînèrent à une cadence rapide. Héliodore et Aurélien partirent ensemble et se dévoilèrent leurs sentiments respectifs. L’Écosse devint le théâtre d’une parfaite idylle. En outre, Malcolm Mac Graham, dévoré de remords, se montra ravi de retrouver sa fille et, désirant se faire pardonner son abandon, il offrit aux jeunes gens de rester le temps qu’ils souhaitaient à Dunmay Castle. Il semblait à Aurélien qu’il lui suffisait de formuler un vœu pour obtenir sa réalisation immédiate. Héliodore et lui vivaient au comble de la félicité. L’étudiant était si heureux que, vers la fin des vacances, il expliqua à Malcolm l’origine de sa chance. Lorsqu’il parla de la Dame d’or, Malcolm Mac Graham pâlit et entraîna Aurélien dans son bureau pour une discussion entre hommes. Là, il raconta comment la Dame d’or avait ruiné sa vie et quels pouvoirs maléfiques elle détenait. Tout avait commencé lorsque Kenneth Inverholm avait découvert la pépite qui brillait dans l’eau près de Goldstone Bridge. Kenneth, qui aimait Lady Mac Graham sans être payé de retour, avait supplié la fée gaélique de lui octroyer une immense fortune qui, pensait-il, lui permettrait de séduire Lady Mac Graham, de l’enlever et de la faire vivre dans un luxe tel qu’elle oublierait bien vite son mari. Mais, malgré les efforts du régisseur, la châtelaine restait indifférente. Elle ne le voyait pas plus que s’il était transparent. L’or qu’il avait amassé grâce à la pépite ne lui servait à rien. Lorsque le moment vint de répondre à la question de la fée, il resta sans voix. Alors, le jour suivant, le vent se leva et Lady Mac Graham mourut noyée au fond du Loch Abergarry. Éperdu de chagrin, Kenneth Inverholm se pendit peu après. Mais l’histoire ne s’arrêta pas là. En effet, quelques années plus tard, lui-même, Malcolm Mac Graham, découvrit la fameuse pépite à Goldstone Bridge. Il ne se méfia pas d’elle et, au lieu de la rejeter à l’eau, accepta son ignoble pacte, car il voulait impressionner la jeune photographe française dont il était amoureux. Il craignait qu’elle ne trouvât la vie trop austère à Dunmay Castle, il désirait lui offrir les fastes qui la retiendraient auprès de lui. Il n’avait su répondre à la question maudite. Sa femme décéda peu après, à la naissance d’Héliodore.
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Le passé allait-il se reproduire ? Pourquoi le sort s’acharnait-il ainsi contre lui ? Car, si Aurélien ne répondait pas convenablement à la Dame d’Or, l’innocente Héliodore mourrait. Accablé, l’étudiant réalisa avec horreur les conséquences de son imprudence. Il ne lui restait que trois jours pour trouver une solution. Il se précipita dans l’immense bibliothèque du château, consulta d’innombrables ouvrages où l’on parlait de l’énergie que dégageait l’explosion des étoiles, qui favorisait la création d’éléments lourds tels que l’or, ou encore des météorites qui auraient pu apporter l’or sur la Terre. Malgré la profusion de théories, d’informations historiques ou scientifiques, il pressentait qu’aucune de ces explications ne satisferait la Dame d’or. La dernière nuit du mois d’août, il s’endormit en proie à une angoisse extrême, mais il était résolu à échanger sa propre vie contre celle d’Héliodore.
Le passé allait-il se reproduire ? Pourquoi le sort s’acharnait-il ainsi contre lui ? Car, si Aurélien ne répondait pas convenablement à la Dame d’Or, l’innocente Héliodore mourrait. Accablé, l’étudiant réalisa avec horreur les conséquences de son imprudence. Il ne lui restait que trois jours pour trouver une solution. Il se précipita dans l’immense bibliothèque du château, consulta d’innombrables ouvrages où l’on parlait de l’énergie que dégageait l’explosion des étoiles, qui favorisait la création d’éléments lourds tels que l’or, ou encore des météorites qui auraient pu apporter l’or sur la Terre. Malgré la profusion de théories, d’informations historiques ou scientifiques, il pressentait qu’aucune de ces explications ne satisferait la Dame d’or. La dernière nuit du mois d’août, il s’endormit en proie à une angoisse extrême, mais il était résolu à échanger sa propre vie contre celle d’Héliodore.
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Dans son rêve, une lumière glaciale signala l’apparition de la Dame d’or. Elle posa sa question. Aurélien, affolé, s’apprêtait à engager des négociations maladroites. Il se concentra sur la pensée d’Héliodore et, soudain, découvrit la réponse qu’il cherchait. Il prononça la phrase qui déjouait les artifices de la mort :
« L’or véritable provient de l’amour. »
La Dame d’or disparut, entraînant avec elle tous les tourments qu’elle avait engendrés.
Dans son rêve, une lumière glaciale signala l’apparition de la Dame d’or. Elle posa sa question. Aurélien, affolé, s’apprêtait à engager des négociations maladroites. Il se concentra sur la pensée d’Héliodore et, soudain, découvrit la réponse qu’il cherchait. Il prononça la phrase qui déjouait les artifices de la mort :
« L’or véritable provient de l’amour. »
La Dame d’or disparut, entraînant avec elle tous les tourments qu’elle avait engendrés.
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Certains racontent qu’elle pourrait réapparaître auprès d’esprits cupides, mais je n’y crois pas. Et vous ?
23 commentaires:
Oh, la belle histoire !
Je crois, quant à moi, que la Dame d'Or ne réapparaîtra plus...
Avez-vous pensé à dessiner et/ou peindre la Dame d'Or et sa pépite, cela illustrerait si bien cette passionnante histoire...
Bonne journée à vous, Anne !
Norma
voici donc cette fin tant attendue!!...trop mignon Aurélien!!la dame d'or est bien sage de disparaître....à mon avis, elle ne peut réapparaître!! mais je suis la sœur de Candide!!
Norma, j'ai publié votre commentaire et il n'apparaît pas à l'écran, je ne comprends pas pourquoi. En tout cas, merci. Je n'ai pas peint cette histoire car mon thème de prédilection est "le laboratoire" et ce sujet était uniquement une fantaisie.
Bonne journée! J'espère que Blogger fera apparaître votre commentaire dans la journée.
Anne
Ah! Votre commentaire est enfin là!
Anne
Très bon récit qui mêle le fantastique et le merveilleux !
On pourrait l'imaginer aussi au XIX° siècle dans une ambiance balzacienne, à la façon "Peau de chagrin"...
Nous espérons avoir d'autres textes !
j'aime beaucoup cette fin un brin philosophique vous avez parfaitement renoué les fils des trois histoires et le suspens ne s'arrête qu'à la fin.
Merci pour cette belle histoire.
Marisol
Merci Anne pour ce beau conte.
J'ai dévoré les 3 épisodes en une seule fois !
La Dame d'Or ne reviendra plus importuner cette famille, c'est sûr.
Une histoire très impressionante, Anne. Tu évoques si bien les paysages que je sens que j’ai voyagé en Ecosse et que j’ai vécu ce drame. Bravo!
Bravo Anne, pour ce récit bien mené ! Jusqu'à la toute fin j'en ignorais l'issue. J'ai même craint que tout finisse mal mais non au contraire, tout finit bien.
Linda
Merci, Gwendoline. Je suis contente qu'un de mes personnages ait suscité un intérêt particulier de votre part.
Bonne soirée!
Anne
Merci beaucoup Totirakapon. J'aurai certainement l'occasion de publier d'autres textes, mais pas dans l'immédiat car en ce moment, je travaille plutôt en arts plastiques et cela me prend le peu de temps qui me reste de disponible.
A bientôt!
Anne
Merci à vous, Marisol, et très bonne soirée!
Anne
Une " happy end " qui résonne comme une" morale de l'histoire". Il n'y a pas de fatalité ...
Astheval, je suis contente que cette petite histoire vous ait plu.
De mon côté, je me demande bien ce qui va arriver à Stellya et aussi à Harmonie.
Je vous souhaite un bon weekend.
Anne
James, je rêve depuis longtemps d'aller en Ecosse. Si j'ai pu traduire un peu de ce désir dans mes descriptions, j'en suis ravie.
Bon weekend!
Anne
Linda, vous avez raison: lorsque j'écris une nouvelle, elle a tendance à mal finir pour le personnage principal (le drame serait plus facile que le bonheur des héros?). Mais là, les héros étaient des jeunes gens plutôt sympathiques et j'avais passé une bonne journée à Saint-Yrieix; il fallait donc que la fin soit joyeuse.
Merci pour vos commentaires toujours attentifs, délicats et perspicaces.
Je vous souhaite un très bon weekend.
Anne
Oui, Miss Lemon, cette histoire (un de mes premiers textes) est vraiment sans façon; mon seul but est de vous divertir.
Bonne soirée!
Anne
Ouf ! a happy end ! Belle nouvelle, j'aurais bien aimé continuer cette lecture encore un peu, surtout que j'ai eu le privilège d'arriver un peu en retard et de lire l'histoire en entier.
N'hésitez plus à nous divertir de la sorte Anne, j'aime beaucoup votre style, et grâce à vos jolies descriptions, je n'ai pas eu de mal à être spectatrice des lieux imaginés sous votre plume.
à bientôt
Danielle
J'ai imprimé la nouvelle pour pouvoir la lire d'un seul trait dès que je trouverais un petit moment. Voilà, sur la terrasse, avec un petit café pour accompagner le fond de l'air frisqué -les saints de Glace ont du faire des petits!!!-, je viens de passer un excellent moment. J'imaginais des illustrations pour ce conte, il m'a tenu en haleine jusqu'à son dénouement optimiste, j'aurais même aimé qu'il dure encore quelques instants, malgré cette fraicheur de fin d'après-midi.
Au suivant!
Merci, Danielle, je suis contente que cette nouvelle vous ait plu. Je vous souhaite une belle semaine.
Anne
Merci, Martine, je vous imagine avec plaisir en train de lire et j'espère poour vous le retour de la chaleur. Je n'ai pas fait d'illustrations pour cette nouvelle qui ne se situe pas du tout dans mes préoccupations plastiques actuelles.
Je vous souhaite une semaine ensoleillée.
Anne
Bonjour,
Merci pour cette histoire.
Je vous cite sur
http://saintyrieixlaperche.wordpress.com
Amusant, il y a des Ecossais qui se sont installés à St-Yrieix.
Autres blogs sur St-Yrieix à
http://lefenetrou.blogspot.com
A bientôt sur vos pages
Aredius44
Bonjour,
Merci pour cette histoire.
Je vous cite sur
http://saintyrieixlaperche.wordpress.com
Amusant, il y a des Ecossais qui se sont installés à St-Yrieix.
Autres blogs sur St-Yrieix à
http://lefenetrou.blogspot.com
A bientôt sur vos pages
Aredius44
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